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La fiction peut-elle rendre nos futurs plus solidaires ?
Les récits contribuent aux enjeux de solidarité, même modestement. C’est le point de vue de trois auteurs et des concepteurs de l’anthologie Nos futurs solidaires.
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La science-fiction investit les imaginaires de la solidarité
Comment écrire sur le futur de la solidarité sans tomber dans le « prêchi-prêcha » ? Les réponses de trois auteurs et des deux pilotes de Nos futurs solidaires.
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Aven Savore : les enfants à l’école de la scène
Cette association remobilise des jeunes issus des bidonvilles et hôtels sociaux du nord de l’Essonne à travers des spectacles de danses et musiques tziganes.
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Studio Traversée : le jeu vidéo redonne le goût d’apprendre
Cet atelier de création de jeu vidéo remobilise des adolescentes et adolescents en situation de décrochage scolaire grâce à une pédagogie très participative.
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Solid’Art’Isthme : la musique au rythme des différences
À Nice, l’école Bubble Art accueille gratuitement dans ses cours de musique des enfants atteints de troubles sévères de l’apprentissage aux côtés d’autres enfants.
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Redonner la vie au quartier avec tous, c’est Tout autre chose
Face à la gentrification qui ronge la capitale, cette association développe autour d’un restaurant solidaire un art de vivre ensemble, sans distinction de classe sociale.
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Serena Tallarico : prendre le temps d'accueillir les migrants
Le pari de cette anthropologue et psychologue : réussir l’intégration de réfugiés grâce à une prise en charge globale, psychologique et professionnelle.
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Camini : un village déserté revit grâce aux réfugiés
Grâce à sa coopérative Jungi Mundu, le village de Camini en Calabre accueille une centaine de réfugiés. Une communauté multiculturelle s’est ainsi créée.
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L’Archipel des sans-voix : faire raisonner l'écho des oubliés
Cette association cherche à faire entendre la voix de ceux que la société ne veut écouter, notamment par un journal en ligne et des « causeries publiques ».
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Ces réfugiés sont des compagnons de saison
Le programme Compagnonnage de Fermes d’avenir réserve chaque année 12 places à des personnes réfugiées, qui se forment et travaillent dans des fermes.
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