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La Caravanade : ça roule pour le lien social à Marseille
La Caravanade met à disposition de collectifs, d'associations ou de centres sociaux quatre caravanes pour les besoins d'animation des quartiers prioritaires de Marseille.
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Détenus et citoyens : ce sont les Robins des murs
Ce collectif organise des courses de fond au profit d’associations caritatives dans la cour de prison, créant ainsi d’autres liens entre détenus et personnel pénitentiaire.
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Solidarité Paysans : des pairs pour s’entraider
Depuis 2018, cette association composée pour partie d’anciens paysans vient en aide aux agriculteurs pour résoudre selon leurs problèmes techniques, financiers, juridiques, sociaux, etc.
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Un bus rural connecté pour rester relié
Porté par l'association l'AiRe AéRée, ce tiers lieu itinérant initie aux outils numériques des seniors et rompt ainsi leur isolement en milieu rural.
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Paquita : un tiers-lieu mobile pour décloisonner les EHPAD
Retapé par des résidents du Pôle gérontologique nîmois de La Croix-Rouge et bien d’autres acteurs, ce camion est parti pour dynamiser le « vivre ensemble » de la ville.
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Avec Benenova, les aidés aussi deviennent des bénévoles
Et si les personnes en situation de handicap psychique, de précarité ou migrantes devenaient des aidants ? Benenova facilite l’engagement bénévole de toutes et tous.
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Redonner la vie au quartier avec tous, c’est Tout autre chose
Face à la gentrification qui ronge la capitale, cette association développe autour d’un restaurant solidaire un art de vivre ensemble, sans distinction de classe sociale.
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Boutur'âges : creuser un sillon entre générations
En connectant personnes âgées et propriétaires d’un jardin avec des habitants de tous âges qui n'ont pas accès à un jardin, cette initiative cultive les liens intergénérationnels.
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ELLSA : dans la cité, le terroir en partage
L’association Ensemble, un lieu pour des liens solidaires à Achères (ELLSA) : des ateliers, une AMAP, une épicerie solidaire et la ferme urbaine d’Intégraterre.
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Le Carillon : des petits gestes pour une grande cause
Depuis décembre 2015, Le Carillon tisse des réseaux de solidarité locaux entre les personnes sans domicile fixe, les habitants et les commerçants des villes.
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