À Issoire, dans le Puy-de-Dôme, la Rose des Vents a accueilli gratuitement toute personne en situation de précarité confrontée à des difficultés de soins. 

Pendant presque six mois, un bâtiment du Diocèse a accueilli plus de 250 migrants. Comment bénévoles et associations ont-ils fabriqué au quotidien une chaîne de solidarité ?

Pour Catherine Tourette-Turgis, fondatrice de l’Université des patients, toute personne, même vulnérable, malade ou en fin de vie, a des capacités à valoriser.

Le soin n’appartient pas qu’aux soignants, mais à tous les citoyens, professionnels ou non du monde médical, explique la philosophe et psychanalyste.

Dans la favela Cidade de Deus, cette association accueille des personnes âgées pour leur proposer des activités socio-culturelles et des soins thérapeutiques.

Sous statut coopératif, le Centre de libération du mal-être éthylique prend chaque patient, au-delà de son seul problème, tel un individu complet et singulier.