Le croisement des savoirs de chercheurs, de professionnels et surtout de citoyens est au cœur de la dynamique de l’économie sociale et solidaire du Québec.

A’Salfo, leader des Magic System, a créé le festival FEMUA à Anoumabo, quartier déshérité où il est né. Son volet socio-éducatif est, pour lui, crucial.

Après avoir intégré cinq danseurs handicapés moteurs, la Klaus Compagnie veut créer le Komptoir H’Artistique, salle de spectacle à la programmation inclusive.

Le Kliptown Youth Program permet à des dizaines de jeunes de ce quartier déshérité d’intégrer l’université, à des milliers de terminer leur cursus secondaire.

L’Association pour les déficients sensoriels de Mayotte donne de l’autonomie et permet aux enfants malentendants et malvoyants de suivre une vraie scolarité.

Depuis juin 2016, l’école Thot vient en aide aux réfugiés peu ou pas qualifiés : ses cours de français leur permettent d’obtenir un vrai diplôme.

Cette association a mis en place un programme passerelle, totalement gratuit, qui permet aux enfants des quartiers déshérités d’accéder aux études supérieures.

Ce club anglais ouvre ses portes à des SDF, en leur proposant un programme de formation aux métiers de la restauration. Un premier pas vers la réinsertion professionnelle.

A l’entrée du complexe de favelas da Maré, le centre d’arts de la Maré est un espace dédié à la formation, à la création et à la diffusion des arts.

Depuis dix ans, le rappeur Matador a transformé un bâtiment en centre de formation, de réinsertion et d’expression pour la jeunesse des quartiers périphériques.