Des fermes urbaines de Detroit au soutien des jeunes élèves démunis de Chicago, un voyage dans quelques mondes de l’empowerment made in USA. 

Autosuffisance alimentaire et résilience communautaire, tels sont les objectifs de cette entreprise d’agriculture urbaine, qui vise à développer l’empowerment.

Cette épicerie solidaire soulage le porte-monnaie des ménages contre un geste écocitoyen : ramasser des canettes qui polluent l’île et venir les déposer.

Monnaie alternative, jardins partagés et programmes d’éducation alimentaire, la D-Town Farm est une ferme urbaine dédiée à la communauté afro-américaine.

C’est au Ghana qu’une jeune étudiante a eu l’idée la Bamboo Bike Initiative, qui amoindrit la facture écologique et amortit la fracture sociologique.

Grâce à son centre intergénérationnel et son jardin partagé, l’association Entr’aide à domicile considère la personne âgée ou handicapée dans sa globalité.

Entre 2000 et 2014, l’emploi privé dans l’économie sociale et solidaire a progressé de 24 % alors qu’il n’a augmenté que de 4,5 % dans le secteur privé hors ESS.

En France, l’économie sociale et solidaire a rapporté, en 2013, 100 milliards d’euros en valeur ajoutée brute, 5 milliards de plus que les sociétés financières.

Les cinq domaines d’activités principaux de l’ESS : l’action sociale, les sports et loisirs, les activités financières, la culture et enfin l’enseignement.

En 2013, 67,7 % des salariés de l’ESS étaient des femmes (1 587 900 vs. 782 100 hommes). Les écarts de salaires entre hommes et femmes y sont moindres.