Une solidarité sans centre ni hiérarchie, intégralement portée par chacun de nous, serait-il une utopie ou une dystopie, un rêve ou un cauchemar ?

Portée par le numérique et parfois le désengagement des États, la philanthropie évolue et se développe comme jamais. Mais le phénomène est-il si neuf ?

Ce réseau a créé un « compagnonnage alternatif et solidaire » pour permettre des transmissions de savoirs et savoir-faire entre métiers qui souvent s’ignorent.

Quand deux associations s’unissent pour proposer aux mal-logés et sans-abri un hébergement digne, conçu pour l’occupation provisoire de terrains laissés vacants.

La reconnaissance du savoir des patients et de la légitimité de la parole des malades considérés en tant que personnes peut-il contribuer à mieux soigner ?

Le Cinéma numérique ambulant organise des projections en plein air gratuites auprès des populations rurales d’Afrique subsaharienne.

La Chambre d’eau rend accessible la création contemporaine à un large public rural, dans des quartiers délaissés, des écoles, des fermes, des usines, etc.

L’association we moë crée un contrat collectif solidaire pour que plus personne ne se voit refuser demain un prêt bancaire en raison de son état de santé.

Le réseau Akirachix permet à des jeunes filles et jeunes femmes, venant en majorité de quartiers pauvres et jusqu’ici exclues du numérique, d’y être formé.

Cette association accompagne des détenus de leur lieu d’incarcération jusqu’à leur réinsertion, grâce à une communauté solidaire qui se réunit dans une péniche.