Redonner un visage, un nom, aux Parisiens qui meurent seuls : la mission que s’est fixée le collectif Les Morts de la rue salue tous les oubliés de leur vivant.

Ce jardin solidaire du quartier de Lavapiès est l’un des laboratoires citoyens les plus aboutis à Madrid. S’y développe un modèle à suivre de près.

Depuis 2009, l’association ESP’errance met à disposition des casiers individuels pour les personnes sans domicile, qui chemin faisant ont trouvé un foyer inédit.

Cette association inverse le paradigme de la recherche d’emploi, en organisant des ateliers où les chômeurs prennent la parole et reprennent confiance.

Sociologue et urbaniste, Raphaël Besson dirige l’agence Villes Innovations. Résidant à Madrid, il a suivi au plus près l’émergence des Laboratoires citoyens. Un modèle.

Le sociologue Nicolas Duvoux explique les promesses et les limites de la notion d’empowerment, dont l’objet est de redonner du pouvoir aux plus démunis.

Pour de petits travaux, des Parisiens sollicitent l’aide de Lulus, voisins  de l’association Lulu dans ma rue. Ils rendent service, et ça crée du lien social.

L’Échappée-l’asso organise des séances d’escalade gratuites et bénévoles où personnes en situation de handicap et individus valides se mélangent : Handigrimpe.  

L’Association Libre Informatique et Solidaire lutte contre l’exclusion en favorisant l’accès aux nouvelles technologies pour les citoyens qui en sont privés.

Une plateforme collaborative qui cartographie les initiatives citoyennes et facilite la coordination de ces actions, leur essaimage et la mobilisation de tous.