Le cofondateur de Zutique, association qui conjugue innovation sociale, démarche artistique et développement économique, partage son expérience de terrain. 

En 2013, 8 648 000 personnes vivaient sous le seuil de pauvreté, fixé par l’Insee à 60 % du niveau de vie médian, soit 1000 euros mensuels.

Des associations et citoyens ont adapté le couchsurfing aux besoins sociaux des plus démunis : c’est « l’hospitalité collaborative », ici chiffrée.

Auteur d’un livre référence sur le quotidien dans les favelas, Zuenir Ventura analyse le clivage entre les quartiers favorisés et les enclaves délaissées.

Via de l’épargne solidaire et des dons, Terre de Liens achète des fermes et les loue à des agriculteurs qui pratiquent une culture biologique et paysanne.

Lancée en janvier 2015, Calm (Comme à la maison) est une application participative destinée aux migrants installés en France. Une aide au logement et plus encore un facteur d’intégration réussie.

Grâce à une méthodologie spécifique, l’école Uerê offre à des enfants de la favela un complément scolaire, afin de surmonter les traumatismes liés à la violence.

De l’autre côté de la baie de Rio, l’Orquestra de Cordas permet aux jeunes de la favela d’accéder à la musique classique… Une expérience musicale et un tremplin social.

Installée dans le bas de la favela de Vidigal, cette troupe de théâtre communautaire met en place depuis trente ans des projets avec les habitants du quartier.

Redonner un visage, un nom, aux Parisiens qui meurent seuls : la mission que s’est fixée le collectif Les Morts de la rue salue tous les oubliés de leur vivant.