Liée à la Sorbonne, l’Université des patients permet aux patients de transformer leur expérience de la maladie en expertise grâce à trois diplômes et un master.

Rencontre avec deux chercheurs, Isabel Heck et Jean-Marc Fontan, qui interviennent au cœur d’une démarche de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale.

Le croisement des savoirs de chercheurs, de professionnels et surtout de citoyens est au cœur de la dynamique de l’économie sociale et solidaire du Québec.

« Il ne faudrait plus rien concevoir demain pour les patients sans les patients » dans notre système de santé et à l’université, selon la chercheuse Olivia Gross.

Le Kliptown Youth Program permet à des dizaines de jeunes de ce quartier déshérité d’intégrer l’université, à des milliers de terminer leur cursus secondaire.

La reconnaissance du savoir des patients et de la légitimité de la parole des malades considérés en tant que personnes peut-il contribuer à mieux soigner ?

Le réseau Akirachix permet à des jeunes filles et jeunes femmes, venant en majorité de quartiers pauvres et jusqu’ici exclues du numérique, d’y être formé.

Selon cet économiste japonais, l’entrepreneuriat social, propulsé par les jeunes et les entreprises, peut transformer la solidarité et le modèle social du Japon.

Ouverte aux soignants comme à tous les citoyens, cette Chaire originale porte la philosophie et les sciences humaines au cœur du monde hospitalier.

Le soin n’appartient pas qu’aux soignants, mais à tous les citoyens, professionnels ou non du monde médical, explique la philosophe et psychanalyste.