Recueillir les histoires des malades, retranscrire ces paroles dans un livre, les transmettre aux proches… Ou comment panser singulièrement le vivre ensemble.

Cette association propose à des personnes touchées par des maladies chroniques des activités créatives, corporelles ou réflexives pour les aider à mieux vivre.

Et si l’évolution des personnes âgées et des aidants, l’aide à domicile et les nouvelles technologies faisaient du lieu d’habitation un espace de solidarité ? 

Au cœur des Pyrénées Orientales, l’ESAT Cal Cavaller a permis au fil du temps de redynamiser l’activité d’un territoire enclavé en y intégrant ses résidents.

Chercheuse en robotique, Sophie Sakka donne les clés du dispositif thérapeutique de Rob’autisme et en tire des réflexions sur notre rapport aux robots.

Grâce à des ateliers avec des robots Nao qu’ils programment eux-mêmes, des adolescents autistes interagissent entre eux et renforcent leur habilité sociale.

Pour la philosophe Corine Pelluchon, l’attention à l’autre suppose de la considération, donc de l’humilité face aux êtres vivants et au monde qui nous a engendré.

La fondation québécoise Les Impatients participe au rétablissement de personnes ayant des problèmes de santé mentale par le biais de l’expression artistique.

Pour Catherine Tourette-Turgis, fondatrice de l’Université des patients, toute personne, même vulnérable, malade ou en fin de vie, a des capacités à valoriser.

Liée à la Sorbonne, l’Université des patients permet aux patients de transformer leur expérience de la maladie en expertise grâce à trois diplômes et un master.