Plus que jamais, en période confinement, les acteurs de l’aide à domicile, qui se dévouent auprès des personnes très âgées, méritent nos applaudissements.

Et si l’évolution des personnes âgées et des aidants, l’aide à domicile et les nouvelles technologies faisaient du lieu d’habitation un espace de solidarité ? 

Selon l’OMS, le nombre de personnes de plus de 80 ans devrait tripler d’ici à 2050. Et la majorité des Japonais sont prêts pour les robots aides-soignants.

Pour Thérèse Lebrun, nous devons créer des laboratoires de la société de demain, intégrant pleinement les personnages âgées, handicapées ou vulnérables.

Les living labs s’appuient sur les nouvelles technologies et les fablabs pour remettre les usagers au cœur de l’écosystème du soin et de l’aide à la personne.

Le vieillissement, le numérique, la notion de progrès, la réinvention du travail et la transformation sociale sont des clés de la solidarité sociale de demain.

À Mayotte, les grands-parents sont trop souvent précarisés, isolés. Le Coco Club a été la première structure à accueillir cette génération « oubliée ».

Grâce à son centre intergénérationnel et son jardin partagé, l’association Entr’aide à domicile considère la personne âgée ou handicapée dans sa globalité.

L’importance des aidants bénévoles, le pari de l’intergénération et la construction d’une « société de la sollicitude » selon le sociologue Serge Guérin.

Propriété collective et location du droit d'usage, biens communs et épanouissement personnel : ce centre autogéré pour personnes âgées a ouvert en 2013.