Premières heures (retour progressif au travail) et Convergence (accompagnement global) sont deux programmes pour les ex sans-abris. Ils essaiment aujourd’hui.

Issu du chantier d’insertion Emmaüs Défi, le programme Convergence accompagne globalement et dans la durée, au-delà de l’emploi, chaque personne hier sans toit.

L’association Carton Plein emploie des SDF pour reconditionner et revendre à petits prix les cartons récupérés chez les professionnels et particuliers.

Au Québec, l’association des Architectes de l’urgence aide les plus démunis à se reconstruire un toit en utilisant leurs propres techniques traditionnelles.

Ce « coffre-fort numérique » permet aux SDF de conserver leurs documents, et ainsi de sécuriser leurs liens avec les travailleurs sociaux et l’administration.

Grâce à l’association La Fabrique nomade, des réfugiés exercent leur métier d’artisan d’art et animent des ateliers ouverts aux amateurs et aux professionnels.

Pour faire face au manque de places en crèche, en particulier dans les zones difficiles de Seine-Saint-Denis, Soli’mômes a créé des crèches mobiles. 

Grâce aux Kaps (Kolocations à projets solidaires), des jeunes montent des initiatives dans des quartiers difficiles en échange d’un logement à loyer modéré.

En Côte d’Ivoire, le Festival des Musiques Urbaines d’Anoumabo (FEMUA) et sa fondation refont vivre un quartier déshérité d’Abidjan et ses écoles.

La ferme de La Terre En Partage va permettre à des réfugiés de sortir de la précarité. En devenant producteurs maraichers, ils s’intégreront au tissu local.