Anthropologue et professeur des universités à l’Institut national des sciences de l’archéologie et du patrimoine à Rabat, Naïma Chikhaoui distingue les notions de bienfaisance et de solidarité au Maroc et revient sur le rôle des associations dans ce domaine.

Épicerie solidaire, ateliers d’argile, réparation de vélos ou cuisine collective, ce camion est vecteur de lien social dans les petits villages de l’Hérault.

Pour améliorer le quotidien des femmes de cette favela, l’association Redes a bâti en 2016 une maison des femmes, pour les guider vers une plus grande autonomie.

Dans les séjours de répit de l’association JADE, la musique et surtout le cinéma permettent à de jeunes aidants familiaux de mettre mots et images sur leur vécu.

Deux associations de Seine-Saint-Denis, Garances et Inser’Éco93, ont créé le premier outil financier solidaire du département, le Fonds d’avance remboursable.

VoxPublic propose une boîte à outils numérique aux collectifs luttant contre les inégalités sociales. Objectif : les aider à porter leur voix.

À Drancy, l’association Science ouverte donne l’envie et les moyens aux jeunes de se lancer dans une carrière scientifique qu’ils croient hors de portée.

Toit à Moi a réussi à mobiliser un réseau solide de citoyens, de bénévoles et de partenaires pour loger et aider les sans-abris à se reconstruire.

L’association marseillaise Les Têtes de l’art permet aux acteurs de l’ESS de monter des projets culturels qui impliquent les habitants aux côtés des artistes.

Ce réseau a créé un « compagnonnage alternatif et solidaire » pour permettre des transmissions de savoirs et savoir-faire entre métiers qui souvent s’ignorent.