De Casablanca à Berlin, des campagnes isolées du Bénin à un terrain de basket de Montréal, petit tour de monde de lieux de solidarité et d’émancipation.

Née à l’impulsion d’habitants du quartier Vatable, cette opération est devenue une méthode collective qui mobilise tous et toutes pour faire revivre Pointe-à-Pitre.

Recueillir les histoires des malades, retranscrire ces paroles dans un livre, les transmettre aux proches… Ou comment panser singulièrement le vivre ensemble.

L’association EKO! donne aux réfugiés et habitants de l’île de Lesbos les moyens de fabriquer ou réparer des solutions techniques pour des besoins fondamentaux.

La cinéaste et cofondatrice de l’association Jade explique comment faire un film permet à de jeunes aidants de se raconter et prendre du recul sur le quotidien.

En Afrique du Sud, l’attention à l’autre, qu’il habite dans des townships ou des zones rurales éloignées de tout, passe par la culture, notamment la danse.

Cette association parisienne organise des visites culturelles pour permettre à un public défavorisé de s’approprier la ville et d’apprendre le français.

Cette association est un vecteur d’éducation et d’expression culturelle ainsi qu’un réseau solidaire pour les migrants d’origine subsaharienne au Maroc.

L’association The Ink Link permet aux acteurs de la solidarité de communiquer en bande dessinée, grâce à son réseau d’artistes et de professionnels.

Émission mensuelle diffusée sur 17 radios locales, L’ImagiNoir permet à des non et mal voyants de réaliser des reportages, interviews et coups de gueule.