Cette association de migrantes, construite en Grèce sur des principes de sororité, s’affranchit des barrières communautaires et estompe la frontière entre aidées et aidantes.

La solidarité repose de plus en plus sur des pratiques allant vers les « invisibles », avec plutôt que pour, « pair-aidantes », dans un territoire et en écosystème.

Comment le simple geste solidaire d’accueillir des réfugiés a permis de redonner vie à des communes qui se mouraient peu à peu en Calabre, au sud de l’Italie.

De quelle façon la notion de « communs » permet-elle aux Berlinois de construire de vrais projets collectifs, en opposition à la « gentrification » ? Interview.

Trois exemples, parmi tant, qui démontrent qu’en se regroupant les citoyens résisteront toujours mieux à la pression immobilière qui ronge le vivre-ensemble.

Maison intergénérationnelle, la coopérative citoyenne de Südstern recrée de la solidarité entre Berlinois et néo-Berlinois grâce à ses repas, rencontres et activités.

À Londres, Camdem Collective rénove des lieux laissés à l’abandon, les transforme en espaces de coworking et les met gratuitement à la disposition de projets.

Ce magasin de location du sud de Londres propose des objets du quotidien à bas prix, mais aussi des ateliers et une vraie animation solidaire. Et il essaime.

Créé en 2010 en Suède, ce centre installé à Göteborg réfléchit et teste avec les citoyens ce que pourrait être une ville juste dans une logique collaborative et transdisciplinaire.

Un couple d’entrepreneurs écossais a construit un réseau de cafés, qui réinsère des SDF et redistribue ses bénéfices à des associations.