10% des personnes de 75 ans fréquentent ou vivent dans un EHPAD, alors que 39% d’entre elles disent n’avoir « aucune personne pour parler de sujets personnels ».

Surtout en matière d’habitat, la solidarité entre générations nécessite de vrais dispositifs d’accompagnement humain. Telle est la conviction de Jean Bouisson.

Au cœur des Pyrénées Orientales, l’ESAT Cal Cavaller a permis au fil du temps de redynamiser l’activité d’un territoire enclavé en y intégrant ses résidents.

Hippocamp’families réunit des familles touchées par la maladie d’Alzheimer pour mutualiser les lieux et coûts afin de permettre la venue d’un auxiliaire de vie.

Né voici quinze ans, ce lieu permet à des malades d'Alzheimer, personnes avec des troubles de la mémoire, mais aussi des aidants, de se retrouver en papotant.

Depuis décembre 2015, Le Carillon tisse des réseaux de solidarité locaux entre les personnes sans domicile fixe, les habitants et les commerçants des villes.

Jusqu’en juillet 2019, le Collectif des SDF de Lille a relogé les personnes de la rue. Fait unique, l’association regroupait anciens SDF et travailleurs sociaux.

En France, la majorité des personnes les plus handicapées peuvent trouver un établissement d’accueil ou d’accompagnement.

En une vingtaine d’année, l’ESAT créé par l’association L’ESSOR à Mézin dans le Lot-et-Garonne a revitalisé le village auquel il s’est pleinement intégré.

Et si le monde du travail devait changer pour que ses espaces deviennent de vrais lieux d’attention pour des personnes vulnérables ou revenant de maladie ?