À Marseille, le Lieu de répit héberge des personnes sans abri en situation de crise psychique, et organise leur accompagnement par des pairs. Reportage photo.

Toit à Moi a réussi à mobiliser un réseau solide de citoyens, de bénévoles et de partenaires pour loger et aider les sans-abris à se reconstruire.

Qu’y a-t-il de solidaire dans l’habitat participatif ? Et avec quels obstacles ? Réponses au travers de huit projets aux motivations et vécus très différents.

La précarité naît de la récurrence, de la permanence de situations de vulnérabilité face à l’emploi et dans le travail. Interview du sociologue Nicolas Duvoux.

La favela Morro dos Prazeres fait figure d’exception, grâce à la mise en place d’initiatives écologiques qui impulsent un autre vivre ensemble.

Pour le cofondateur du mouvement « 200 % citoyen » Y’en a marre, la multiplication des actions sociales fera émerger un « nouveau type de Sénégalais ».

Habitat for Humanity soutient l’accès à la propriété des démunis. Les futurs propriétaires « coconstruisent » en retour le projet des prochains bénéficiaires.

S’il n’y avait pas d’aidants en France, 5 millions d’aidés devraient être relogés. Plus des deux tiers des personnes aidées vivent en effet chez elles.

Qu’elle soit « intelligente », nourrie de « communs » ou « inclusive » grâce à l’imagination des cités du Sud, la ville de demain sera-t-elle plus solidaire ?

L’importance des aidants bénévoles, le pari de l’intergénération et la construction d’une « société de la sollicitude » selon le sociologue Serge Guérin.