Au Québec, l’association des Architectes de l’urgence aide les plus démunis à se reconstruire un toit en utilisant leurs propres techniques traditionnelles.

La ferme de La Terre En Partage va permettre à des réfugiés de sortir de la précarité. En devenant producteurs maraichers, ils s’intégreront au tissu local.

À Marseille, l’AMPIL (Action méditerranéenne pour l'insertion sociale par le logement) cherche à loger décemment les « vieux » travailleurs immigrés : les chibanis.

Grâce à des colocations dédiées aux jeunes étrangers, cette Maison d’enfants à caractère social répond à une demande et interroge sur les solutions possibles.

Récit d’une journée à la Bagagerie, un lieu d’accueil associatif à taille humaine dans le centre de Marseille, qui s’adresse à des personnes en errance.

La favela Morro dos Prazeres fait figure d’exception, grâce à la mise en place d’initiatives écologiques qui impulsent un autre vivre ensemble.

L’Observatorio de Favelas crée des outils de réflexion pour revaloriser les bidonvilles. Pour son directeur, il faut inclure les habitants dans ce processus.

En 2013, 8 648 000 personnes vivaient sous le seuil de pauvreté, fixé par l’Insee à 60 % du niveau de vie médian, soit 1000 euros mensuels.

Qu’elle soit « intelligente », nourrie de « communs » ou « inclusive » grâce à l’imagination des cités du Sud, la ville de demain sera-t-elle plus solidaire ?

Lancée en janvier 2015, Calm (Comme à la maison) est une application participative destinée aux migrants installés en France. Une aide au logement et plus encore un facteur d’intégration réussie.