A l’entrée du complexe de favelas da Maré, le centre d’arts de la Maré est un espace dédié à la formation, à la création et à la diffusion des arts.

En 2013, 8 648 000 personnes vivaient sous le seuil de pauvreté, fixé par l’Insee à 60 % du niveau de vie médian, soit 1000 euros mensuels.

Des associations et citoyens ont adapté le couchsurfing aux besoins sociaux des plus démunis : c’est « l’hospitalité collaborative », ici chiffrée.

Qu’elle soit « intelligente », nourrie de « communs » ou « inclusive » grâce à l’imagination des cités du Sud, la ville de demain sera-t-elle plus solidaire ?

Implantée dans une barre HLM de la ville, cette association se rapproche des publics « empêchés » pour créer des projets au-delà du territoire de la musique.

Auteur d’un livre référence sur le quotidien dans les favelas, Zuenir Ventura analyse le clivage entre les quartiers favorisés et les enclaves délaissées.

Depuis dix ans, le rappeur Matador a transformé un bâtiment en centre de formation, de réinsertion et d’expression pour la jeunesse des quartiers périphériques.

Via de l’épargne solidaire et des dons, Terre de Liens achète des fermes et les loue à des agriculteurs qui pratiquent une culture biologique et paysanne.

À Berlin, cette entreprise sociale forme des migrants au métier de codeur ou de webmaster, en les associant à la construction de leur projet de nouvelle vie.

Dans l’un des quartiers les plus durs d’une favela de Rio, Recode apprend à des jeunes en difficulté les métiers du numérique, et à prendre en main leur destin.