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Le réseau Sens et funérailles, pour de nouveaux rites laïcs
Le projet L'empreinte de L'être et le réseau Sens et funérailles répondent au besoin social de cérémonies laïques, pour des sans-abri comme pour des familles.
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Delivr’aide : une plateforme numérique d’aide aux étudiants
Grâce à cette initiative, des étudiants sont livrés gratuitement chez eux d’un kit alimentaire, d’un panier repas et de produits hygiéniques pour la semaine.
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Les aidants (3) : et si les aidés devenaient des aidants ?
Les expériences de Territoires zéro chômeur de longue durée et de Repairs!44, dont les pairs aidants sont issus de l’Aide sociale à l’enfance, montrent que des « aidés » peuvent devenir « aidants ».
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Esp’errance : les femmes aussi peuvent poser leurs sacs
Cette association, offrant à Marseille des casiers individuels ou les personnes sans-abri déposent leurs affaires, travaille désormais à un accueil réservé aux femmes.
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Sur le rude terrain de la réalité d’Utopia 56
Vingt-six photos pour témoigner du lien entre ceux qui en ont beaucoup trop vu malgré leur âge, et ces autres jeunes qui donnent de leur temps sans compter.
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La solidarité dans les quartiers pendant l’épidémie
Face à la crise sanitaire, les quartiers populaires sont très exposés. État des lieux alors que les associations se réorganisent pour ne pas les abandonner.
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Maisons Lazare : Toi, toi mon toit
Cette association développe l’habitat en maison partagée où de jeunes volontaires cohabitent avec des personnes de la rue afin de les aider à se reconstruire.
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Lendemains en chantier, le Sanitas à la recherche de son futur
Mené par l’association Pih-Poh, ce programme vise l’amélioration des conditions de vie de ce quartier relégué de Tours. Étape 1 : définir avec tous son avenir.
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Pose ton sac d’abord… Un reportage à La Bagagerie de Marseille
Récit d’une journée à la Bagagerie, un lieu d’accueil associatif à taille humaine dans le centre de Marseille, qui s’adresse à des personnes en errance.
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L’hospitalité collaborative en France : 1000 migrants hébergés en six mois
Des associations et citoyens ont adapté le couchsurfing aux besoins sociaux des plus démunis : c’est « l’hospitalité collaborative », ici chiffrée.
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