Véritable hôpital hors-les-murs, ce projet va à la rencontre de femmes en situation de forte vulnérabilité, leur offrant un accès au soin et au dépistage de maladies grâce à une unité mobile.

Grâce à des pictogrammes, le projet Idéordo rend facilement lisibles des ordonnances de prise de médicaments par des personnes SDF, non francophones ou au faible niveau de français.

Membre de la Compagnie des aidants et mère d’un enfant atteint d’une maladie génétique très invalidante, Céline Martinez témoigne de son expérience d’aidante.

De la Guyane au Cameroun, les makers montent des programmes et développent des initiatives face à la crise sanitaire qui sévit dans le monde à l’été 2020

Qu’est devenue l’action concertée et solidaire des makers une fois les carences en matériel résorbées ? Qu’en restera-t-il demain dans le secteur de la santé ?

Rodées aux plates-formes collaboratives, les communautés de makers ont été sur le front, parant aux urgences avant de poser les jalons d’une coordination.

À Marseille, le Lieu de répit héberge des personnes sans abri en situation de crise psychique, et organise leur accompagnement par des pairs. Reportage photo.

400 millions de personnes dans le monde n’ont pas accès aux services de santé les plus élémentaires… Dès lors, le recours au mobile pourrait être bien utile.

Selon la Fondation April, 21% des Français déclarent apporter une aide régulière à une personne (2015). Il y aurait donc 11 millions d’aidants en France.

S’il devait remplacer tous les aidants bénévoles, l’État français devrait dépenser 164 milliards d’euros, selon le sociologue Serge Guérin.