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Le Crapo : l’économie d’un tiers-lieu au cœur d’un quartier
Cet espace a su préserver une part d’utopie solidaire tout en adaptant son modèle à la réalité économique de Vitry-sur-Seine au sein duquel il trouve sa place.
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Formation C.I.A.R.A. : les métiers du numérique à portée de tous
Cette formation de Créative Handicap dote des jeunes en situation de handicap ou de décrochage scolaire de compétences allant des jeux vidéo à la réalité virtuelle.
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À Camini grâce à Ama-La, elles se tissent une nouvelle vie
Quand des femmes migrantes, ayant été victimes de violence, se forment au tissage mécanique et participent ainsi à la sauvegarde de savoir-faire calabrais.
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Afrique du Sud : danser pour panser le monde
En Afrique du Sud, l’attention à l’autre, qu’il habite dans des townships ou des zones rurales éloignées de tout, passe par la culture, notamment la danse.
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ICI Marseille, manufacture collective de toutes les singularités
Dans son makerspace de 3 500 m2, ICI Marseille connecte l’artisanat avec l’économie sociale et solidaire et des jeunes éloignés de l’emploi.
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Banlieues créatives : des talents émergents démontent les clichés
La plateforme gratuite Banlieues créatives réunit des reportages et entretiens réalisés par les jeunes du tremplin d’insertion de Permis de Vivre la Ville.
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Permis de Vivre la Ville, tremplin numérique des sans diplômes
Cette association a ouvert depuis 2011 deux chantiers d’insertion spécialisés dans la vidéo, permettant l’intégration professionnelle de jeunes sans diplômes.
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Orpheus XXI : la solidarité au diapason du monde
Orpheus XXI est un orchestre composé de musiciens migrants ou réfugiés, qui font des concerts et assurent la transmission d’un immense patrimoine musical.
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Jordi Savall : Orpheus XXI et ses musiques sans frontière
Le violiste et violoniste Jordi Savall est à l’origine d’un orchestre d’une vingtaine de musiciens qui sont aussi migrants ou réfugiés : Orpheus XXI. Interview.
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Infographie : le numérique indispensable aux intervenants sociaux
Pas toujours formés à ça, trois quarts des intervenants sociaux doivent faire des démarches administratives « à la place » des personnes qu’ils accompagnent !
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