Les citoyens ont-ils les moyens, en s’appropriant les nouvelles technologies, d’être acteurs d’une ville plus solidaire ? Une interview de Valérie Peugeot.

SoliCycle permet à chacun de réparer son vélo et à beaucoup de retrouver la voie de l’emploi, avec, qui plus est, un vrai impact social sur la vie du quartier. 

Quand deux associations s’unissent pour proposer aux mal-logés et sans-abri un hébergement digne, conçu pour l’occupation provisoire de terrains laissés vacants.

Le programme Agir tous ensemble de l’association Benenova permet à des personnes en situation précaire de devenir bénévoles pour des associations de bien commun.

Le réseau Akirachix permet à des jeunes filles et jeunes femmes, venant en majorité de quartiers pauvres et jusqu’ici exclues du numérique, d’y être formé.

Créée par un jeune nigérian, Chowberry permet à des magasins de faire profiter les plus pauvres de denrées qui étaient hier jetées après leur date de péremption.

Il y a des inventions technologiques, mais les innovations sont d’abord sociales, c’est-à-dire culturelles, marketing ou solidaires, bien plus que numériques.

Quinze photos pour constater comment et où les Madrilènes inventent depuis dix ans un nouveau « vivre-ensemble » plus solidaire, participatif, écologique.

À l’aide d’un réseau social, lancé sous forme d’application mobile fin 2016, l’association Entourage crée du lien entre personnes sans abri et riverains.  

Ce « coffre-fort numérique » permet aux SDF de conserver leurs documents, et ainsi de sécuriser leurs liens avec les travailleurs sociaux et l’administration.