Une histoire de dons d’organe, d’inégalités sociales et au final de solidarité, tirée de l’anthologie de science-fiction Nos futurs solidaires.

Quelles sont aujourd’hui les motivations de ceux qui « habitent » ces laboratoires d’un monde à « re-panser » pour que nos futurs soient plus solidaires ?

Qui sont celles et ceux qui « habitent » les tiers lieux, ces espaces tout à la fois laboratoires de la ville, du terroir et du travail de demain ? État des lieux.

Les femmes comptent pour 2/3
de la force de travail, mais perçoivent seulement 1/10e des revenus dans le monde. 70% des « pauvres » sont des femmes.

Inspiré d’une initiative en Afrique, ce lieu destiné aux femmes contribue à les faire sortir de l’isolement et de la pauvreté au cœur de la banlieue parisienne.  

Cet internat accueille gratuitement près de 200 jeunes filles issues des campagnes du Maroc, et leur permet ainsi d’être scolarisées au collège et au lycée.

À Tanger, l’association 100% Mamans accompagne les mères célibataires trop souvent rejetées et leur donne la parole grâce à une radio en ligne qu’elle a créée.

Anthropologue et professeur des universités à l’Institut national des sciences de l’archéologie et du patrimoine à Rabat, Naïma Chikhaoui distingue les notions de bienfaisance et de solidarité au Maroc et revient sur le rôle des associations dans ce domaine.

Le réseau Akirachix permet à des jeunes filles et jeunes femmes, venant en majorité de quartiers pauvres et jusqu’ici exclues du numérique, d’y être formé.

Write A House achète et rénove des maisons dans des quartiers déshérités de Detroit, puis y invite des écrivains pour qu’ils enrichissent ses communautés.