De quelle façon la notion de « communs » permet-elle aux Berlinois de construire de vrais projets collectifs, en opposition à la « gentrification » ? Interview.

Trois exemples, parmi tant, qui démontrent qu’en se regroupant les citoyens résisteront toujours mieux à la pression immobilière qui ronge le vivre-ensemble.

Cet internat accueille gratuitement près de 200 jeunes filles issues des campagnes du Maroc, et leur permet ainsi d’être scolarisées au collège et au lycée.

À Tanger, l’association 100% Mamans accompagne les mères célibataires trop souvent rejetées et leur donne la parole grâce à une radio en ligne qu’elle a créée.

Anthropologue et professeur des universités à l’Institut national des sciences de l’archéologie et du patrimoine à Rabat, Naïma Chikhaoui distingue les notions de bienfaisance et de solidarité au Maroc et revient sur le rôle des associations dans ce domaine.

Lieu de découverte et de formation aux arts et à la scène, ce centre vise à désenclaver les populations d’un des quartiers les plus pauvres de Casablanca.

Dans son makerspace de 3 500 m², ICI Marseille connecte l’artisanat avec l’économie sociale et solidaire et des jeunes éloignés de l’emploi.

Maison intergénérationnelle, la coopérative citoyenne de Südstern recrée de la solidarité entre Berlinois et néo-Berlinois grâce à ses repas, rencontres et activités.

Épicerie solidaire, ateliers d’argile, réparation de vélos ou cuisine collective, ce camion est vecteur de lien social dans les petits villages de l’Hérault.

Né il y a 8 ans à la périphérie de Lille, le quartier Humanicité s’appuie sur un living lab avec et par les habitants. Stéphane Soyez nous parle de ses ateliers.