Les citoyens ont-ils les moyens, en s’appropriant les nouvelles technologies, d’être acteurs d’une ville plus solidaire ? Une interview de Valérie Peugeot.

Au centre-ville de Rennes, le personnel du Café Joyeux se compose de personnes en situation de handicap, mental ou cognitif. Et ils ont plaisir à y travailler.

La reconnaissance du savoir des patients et de la légitimité de la parole des malades considérés en tant que personnes peut-il contribuer à mieux soigner ?

Le langage « facile à lire et à comprendre », est développé en France par Les Papillons blancs, qui en a fait un outil d'inclusion, voire une source de revenus.

Le Tactile Books Project utilise l’impression 3D pour fabriquer avec des possesseurs d’imprimantes des livres tactiles illustrés pour enfants mal ou non voyants.

A Stains, une bande de copains a réussi à faire sortir de terre une filière agro-alimentaire 100 % bio, 200 % urbaine. Une réussite économique 300% solidaire.

Depuis qu’il s’est fabriqué sa prothèse, Nicolas Huchet est devenu l’exemple des potentialités en matière de santé du mouvement des makers, version française.

L'association Amarrage crée du lien entre passionnés de voile et personnes souffrant de handicap psychique ou d’addiction, pour mieux protéger le patrimoine normand.

Selon la Fondation April, 21% des Français déclarent apporter une aide régulière à une personne (2015). Il y aurait donc 11 millions d’aidants en France.

S’il devait remplacer tous les aidants bénévoles, l’État français devrait dépenser 164 milliards d’euros, selon le sociologue Serge Guérin.