Grâce à sa coopérative Jungi Mundu, le village de Camini en Calabre accueille une centaine de réfugiés. Une communauté multiculturelle s’est ainsi créée.

Le programme Compagnonnage de Fermes d’avenir réserve chaque année 12 places à des personnes réfugiées, qui se forment et travaillent dans des fermes.

Dans cette école alternative du Finistère, les bénévoles de l’association Les utopistes en action forment, accompagnent et logent des demandeurs d’asile.

De Casablanca à Berlin, des campagnes isolées du Bénin à un terrain de basket de Montréal, petit tour de monde de lieux de solidarité et d’émancipation.

La crise sanitaire a transformé le rapport au numérique de bien des professionnels, bénévoles et bénéficiaires des associations du monde de la solidarité.

Avec l’opération Pli Bel Lari qu’elle a initiée en 2014, l’architecte Sylvie Adelaïde a mis en place une méthode pour changer durablement la vie des quartiers.

Cette association toulousaine œuvre à l’intégration, à la scolarisation et à l’insertion professionnelle des jeunes roms en les mettant au cœur de sa démarche.

Face à la crise sanitaire, les quartiers populaires sont très exposés. État des lieux alors que les associations se réorganisent pour ne pas les abandonner.

Depuis la mi-mars 2020, certaines associations de soutien aux migrants ralentissent ou mettent en sommeil des activités, d’autres maintiennent l’essentiel.

L’association EKO! donne aux réfugiés et habitants de l’île de Lesbos les moyens de fabriquer ou réparer des solutions techniques pour des besoins fondamentaux.