L’agence Solano Trindade redynamise les quartiers éloignés de la zone sud de São Paulo, minés par la pauvreté et la violence.

Fragilisés, les acteurs culturels qui œuvrent pour la solidarité s’interrogent sur les possibilités de continuer à essaimer ce goût des autres dans le futur.

Pour améliorer le quotidien des femmes de cette favela, l’association Redes a bâti en 2016 une maison des femmes, pour les guider vers une plus grande autonomie.

Au Brésil, l’école Cirandas revendique la diversité comme richesse et offre la gratuité aux démunis, avec un objectif pour les élèves : apprendre à apprendre.

La chorégraphe brésilienne Lia Rodrigues a installé sa compagnie dans la favela da Maré, à Rio de Janeiro, où elle forme de futurs danseurs professionnels.

Pour compenser les carences des pouvoirs publics, le Cours Pré-Vestibular fournit un indispensable complément scolaire pour réussir à intégrer l’université à Rio. 

Depuis 2014, l'éducatrice spécialisée Inês di Maré Salles anime des ateliers ludiques, pour les enfants déscolarisés retrouvent le goût et le chemin de l’école.

Créé en 2013 dans la plus grande favela de Rio de Janeiro, le trimestriel gratuit Fala Roça aborde avec humour les problèmes sociaux de la communauté nordestine.

A l’entrée du complexe de favelas da Maré, le centre d’arts de la Maré est un espace dédié à la formation, à la création et à la diffusion des arts.

Auteur d’un livre référence sur le quotidien dans les favelas, Zuenir Ventura analyse le clivage entre les quartiers favorisés et les enclaves délaissées.