Dans cet espace dédié aux femmes isolées ou en grande précarité, des « femmes repères », formées après avoir vécu le même type de galères, ont un rôle crucial

À Saint-Denis, ce lieu est l'un des seuls en France à regrouper toutes les compétences pour accueillir, écouter, soigner et orienter les femmes victimes de violence.

Le centre Heri Kwetu s’occupe d’enfants en situation de handicap, et le foyer social Eka’Bana prend soin des enfants accusés de sorcellerie. Reportage au Congo.

À Paris, dans le quartier de la Goutte d’Or, des thérapeutes prêtent l’oreille à ceux qui ont envie de se confier.

À l’est du Congo, de jeunes vidéastes et humoristes se mobilisent bénévolement pour diffuser des messages de sensibilisation aux dangers du coronavirus.

Une épidémie d’empathie qui, d’un hôpital, contaminerait jusqu’aux cafés et salons de coiffure ? Un drôle de récit, au travers de cinq témoignages.

« Il ne faudrait plus rien concevoir demain pour les patients sans les patients » dans notre système de santé et à l’université, selon la chercheuse Olivia Gross.

À Mayotte, le « théâtre image » de ce Centre d’entrainement aux méthodes d’éducation active permet de trouver des réponses aux problèmes d’addiction.

Une jeune Brésilienne change la vie des femmes victimes de violences domestiques en leur proposant de les tatouer gratuitement.

Incarcéré dans l’Illinois, Willie Jackson « s’en est sorti » grâce au yoga. Il y a formé bénévolement d’autres détenus, « pacifiant » ainsi les mentalités.