Dans le quartier populaire de Ouakam à Dakar, certains réapprennent aux jeunes des écoles les savoirs de l’agriculture, comme on le faisait dans les années 1960.

Depuis juin 2016, l’école Thot vient en aide aux réfugiés peu ou pas qualifiés : ses cours de français leur permettent d’obtenir un vrai diplôme.

Le Tactile Books Project utilise l’impression 3D pour fabriquer avec des possesseurs d’imprimantes des livres tactiles illustrés pour enfants mal ou non voyants.

A Stains, une bande de copains a réussi à faire sortir de terre une filière agro-alimentaire 100 % bio, 200 % urbaine. Une réussite économique 300% solidaire.

Ces « communautés collaboratives » entendent faire circuler sans entrave le savoir. Tous les savoirs.

Depuis quinze ans deux associations de cirque « adapté » proposent en France et à l’étranger des ateliers à des personnes en situation de fragilité.

À Berlin, cette entreprise sociale forme des migrants au métier de codeur ou de webmaster, en les associant à la construction de leur projet de nouvelle vie.

Depuis 40 ans, la banque communautaire Banco Palmas renouvelle la solidarité sociale, par exemple avec son PalmasLab, incubateur destiné aux jeunes précarisés.

Les Paniers marseillais, c’est un marché alimentaire sans intermédiaire, écologique et solidaire, qui reconnecte les villes avec le monde paysan.  

Association d’éducation thérapeutique, la Fabrique créative de santé aide les patients à mieux vivre leur handicap ou leur maladie en créant eux-mêmes.