Au Brésil, des familles investissent des immeubles abandonnés et inventent d’autres manières de vivre ensemble, solidaires, écologiques et ouvertes sur le quartier.

Au collège Beaumanoir de Ploërmel, des élèves ayant connu l’échec scolaire s’occupent d’une boutique solidaire, découvrent l’ESS et reprennent confiance en eux.

Les épiceries sociales et solidaires se développent : il y en a environ 1000 en France en 2018, alors qu’il n’y en avait presque aucune il y a dix ans.

En 2015, Peyrelevade, entre la Corrèze et la Creuse, ouvre un Centre d’accueil de demandeurs d’asile dans l’ex maison de retraite. Le début de nouveaux liens.

Pendant presque six mois, un bâtiment du Diocèse a accueilli plus de 250 migrants. Comment bénévoles et associations ont-ils fabriqué au quotidien une chaîne de solidarité ?

Plus qu’un message de vacances : le sociologue Dominique Cardon nous explique pourquoi de plus en plus de personnes cultivent des temps de déconnexion totale.

La favela Morro dos Prazeres fait figure d’exception, grâce à la mise en place d’initiatives écologiques qui impulsent un autre vivre ensemble.

Selon la Fondation April, 21% des Français déclarent apporter une aide régulière à une personne (2015). Il y aurait donc 11 millions d’aidants en France.

S’il n’y avait pas d’aidants en France, 5 millions d’aidés devraient être relogés. Plus des deux tiers des personnes aidées vivent en effet chez elles.

S’il devait remplacer tous les aidants bénévoles, l’État français devrait dépenser 164 milliards d’euros, selon le sociologue Serge Guérin.