La reconnaissance du savoir des patients et de la légitimité de la parole des malades considérés en tant que personnes peut-il contribuer à mieux soigner ?

Ouverte aux soignants comme à tous les citoyens, cette Chaire originale porte la philosophie et les sciences humaines au cœur du monde hospitalier.

À l’hôpital de jour du CHU de Nantes, le robot Nao permet à de jeunes autistes de transmettre leurs émotions et d’améliorer leurs compétences relationnelles.

Le soin n’appartient pas qu’aux soignants, mais à tous les citoyens, professionnels ou non du monde médical, explique la philosophe et psychanalyste.

Même quand la médecine devient de plus en plus technologique, n’oublions pas qu’on ne soigne pas des maladies, mais des sujets malades, nous dit la philosophe.

La réalité virtuelle devient un moyen pour les malades atteints du cancer d’oublier la douleur, et donc d’éviter l’utilisation d’anti-douleurs médicamenteux.

En 2013, 8 648 000 personnes vivaient sous le seuil de pauvreté, fixé par l’Insee à 60 % du niveau de vie médian, soit 1000 euros mensuels.

400 millions de personnes n’ont pas accès aux services de santé les plus élémentaires dans le monde. L’Éthiopie compte ainsi 3 médecins pour 100.000 habitants.