De plus en plus d’organisations de la santé et du médico-social, en particulier des EHPAD, s’inspirent du modèle des tiers-lieux voire en créent eux-mêmes.

Quelle est la genèse de ces espaces d’un nouveau genre, qui se sont développés avec l’avènement de la civilisation numérique et l’essor de l’économie collaborative ?

Qui sont celles et ceux qui « habitent » les tiers lieux, ces espaces tout à la fois laboratoires de la ville, du terroir et du travail de demain ? État des lieux.

Aux États-Unis, des acteurs du tiers secteur se sont unis pour faire de ces laveries des espaces de transmission du savoir vers les publics les plus fragilisés.

Cette association développe une économie circulaire locale autour du réemploi de matériaux collectés avec des gens du bâtiment et des salariés en réinsertion.

Simplon forme au numérique des personnes éloignées de l’emploi dans des territoires fragilisés, avec un fort développement mondial depuis sa naissance en 2013.

Inspiré d’une initiative en Afrique, ce lieu destiné aux femmes contribue à les faire sortir de l’isolement et de la pauvreté au cœur de la banlieue parisienne.  

L’association Habitats des possibles développe une nouvelle forme d’hébergement pour les personnes âgées, afin qu’elles ne vivent plus en marge de la société.

Le Gaïdo-Lab développe une application pour faciliter la communication entre populations fragilisées et professionnels du médico-social grâce à des images.

De l’habitat partagé à la maison autogérée ou intergénérationnelle, cinq solutions qui facilitent la vie des anciens tout en leur évitant la maison de retraite.