Quelle est la genèse de ces espaces d’un nouveau genre, qui se sont développés avec l’avènement de la civilisation numérique et l’essor de l’économie collaborative ?

Qui sont celles et ceux qui « habitent » les tiers lieux, ces espaces tout à la fois laboratoires de la ville, du terroir et du travail de demain ? État des lieux.

Primo-arrivants, sortant de détention ou en rupture dans leur parcours professionnel, les salariés en insertion reprennent ici confiance en eux et en demain.

En Guadeloupe, Franck Phazian a bâti une recyclerie sociale et solidaire, base arrière de projets liant sport et écologie pour les plus fragilisés.

Cette recyclerie sociale et solidaire développe deux projets avec les jeunes des quartiers : les stages de voile traditionnelle et la création de récifs artificiels.

Cette association développe une économie circulaire locale autour du réemploi de matériaux collectés avec des gens du bâtiment et des salariés en réinsertion.

Simplon forme au numérique des personnes éloignées de l’emploi dans des territoires fragilisés, avec un fort développement mondial depuis sa naissance en 2013.

Simplon, qui forme au numérique des personnes sans emploi, vit une hypercroissance depuis 2013. Comment et à quel prix ? La vision de l’un de ses cofondateurs.

À Berlin, cette entreprise sociale forme des migrants au métier de codeur ou de webmaster, en les associant à la construction de leur projet de nouvelle vie.

Alternative Urbaine s’engage à former des personnes en situation de précarité au métier de guide touristique, afin qu’ils deviennent des « éclaireurs urbains ».