Alors qu’une large partie de la population en reste exclu, n’y a-t-il pas moyen de réinventer sur le terrain l’utopie d’un monde numérique vraiment inclusif ?

De la Guyane au Cameroun, les makers montent des programmes et développent des initiatives face à la crise sanitaire qui sévit dans le monde à l’été 2020

Qu’est devenue l’action concertée et solidaire des makers une fois les carences en matériel résorbées ? Qu’en restera-t-il demain dans le secteur de la santé ?

La crise sanitaire a transformé le rapport au numérique de bien des professionnels, bénévoles et bénéficiaires des associations du monde de la solidarité.

Fragilisés, les acteurs culturels qui œuvrent pour la solidarité s’interrogent sur les possibilités de continuer à essaimer ce goût des autres dans le futur.

Rodées aux plates-formes collaboratives, les communautés de makers ont été sur le front, parant aux urgences avant de poser les jalons d’une coordination.

Face à la crise sanitaire, les quartiers populaires sont très exposés. État des lieux alors que les associations se réorganisent pour ne pas les abandonner.

Depuis la mi-mars 2020, certaines associations de soutien aux migrants ralentissent ou mettent en sommeil des activités, d’autres maintiennent l’essentiel.

À la mi-avril 2020, comment les lieux qui hébergent des migrants et demandeurs d’asile font-ils face à la crise sanitaire et au confinement ?  

Alors que des établissements ferment ou réduisent leur activité, les associations s’organisent pour continuer d’accompagner celles et ceux qui vivent dans la rue.