Dans cet espace dédié aux femmes isolées ou en grande précarité, des « femmes repères », formées après avoir vécu le même type de galères, ont un rôle crucial

Grâce à l’implication de femmes frappées par ce fléau, le Mouvement des Survivantes des Violences Sexuelles permet à des milliers de victimes de se reconstruire.

À Saint-Denis, ce lieu est l'un des seuls en France à regrouper toutes les compétences pour accueillir, écouter, soigner et orienter les femmes victimes de violence.

Comment le simple geste solidaire d’accueillir des réfugiés a permis de redonner vie à des communes qui se mouraient peu à peu en Calabre, au sud de l’Italie.

Quand des femmes migrantes, ayant été victimes de violence, se forment au tissage mécanique et participent ainsi à la sauvegarde de savoir-faire calabrais.

Grâce à sa coopérative Jungi Mundu, le village de Camini en Calabre accueille une centaine de réfugiés. Une communauté multiculturelle s’est ainsi créée.

De Casablanca à Berlin, des campagnes isolées du Bénin à un terrain de basket de Montréal, petit tour de monde de lieux de solidarité et d’émancipation.

Dans le sud de la Seine-et-Marne, un lieu de protection, d’écoute et d’accompagnement social pour les femmes victimes de toutes les formes de violence.

Cette association développe l’habitat en maison partagée où de jeunes volontaires cohabitent avec des personnes de la rue afin de les aider à se reconstruire.

Pour améliorer le quotidien des femmes de cette favela, l’association Redes a bâti en 2016 une maison des femmes, pour les guider vers une plus grande autonomie.