La Caravanade met à disposition de collectifs, d'associations ou de centres sociaux quatre caravanes pour les besoins d'animation des quartiers prioritaires de Marseille.

Cette association remobilise des jeunes issus des bidonvilles et hôtels sociaux du nord de l’Essonne à travers des spectacles de danses et musiques tziganes.

À travers l'apprentissage du vélo, ce projet vise à l’émancipation de femmes en situation de précarité, personnes exilées ou en rupture d'hébergement.

Et si demain se constituait une solidarité vis-à-vis de nos doubles numériques ? C’est le point de départ de ce texte à l’esprit caribéen de l'anthologie Nos futurs solidaires.

Ce collectif organise des courses de fond au profit d’associations caritatives dans la cour de prison, créant ainsi d’autres liens entre détenus et personnel pénitentiaire.

Dans d'anciens camping-cars réaménagés, l'association Depaul accueille des personnes sans-abri et leur permet d'accéder à une douche... et bien plus !

Grâce à cette initiative, des étudiants sont livrés gratuitement chez eux d’un kit alimentaire, d’un panier repas et de produits hygiéniques pour la semaine.

Quelles sont aujourd’hui les motivations de ceux qui « habitent » ces laboratoires d’un monde à « re-panser » pour que nos futurs soient plus solidaires ?

Quelle est la genèse de ces espaces d’un nouveau genre, qui se sont développés avec l’avènement de la civilisation numérique et l’essor de l’économie collaborative ?

Qui sont celles et ceux qui « habitent » les tiers lieux, ces espaces tout à la fois laboratoires de la ville, du terroir et du travail de demain ? État des lieux.