Quelles sont aujourd’hui les motivations de ceux qui « habitent » ces laboratoires d’un monde à « re-panser » pour que nos futurs soient plus solidaires ?

Qui sont celles et ceux qui « habitent » les tiers lieux, ces espaces tout à la fois laboratoires de la ville, du terroir et du travail de demain ? État des lieux.

Partager le CV de personnes dénuées d’emploi et de réseau, c’est le principe de LinkedOut. Un petit clic pour chacun, un grand pas pour l’inclusion sociale ?

Quand des femmes migrantes, ayant été victimes de violence, se forment au tissage mécanique et participent ainsi à la sauvegarde de savoir-faire calabrais.

Pour briser leur isolement, Paris en compagnie met en relation des aînés avec des bénévoles qui les accompagnent.  Une autre manière de prendre soin.

Anthropologue et professeur des universités à l’Institut national des sciences de l’archéologie et du patrimoine à Rabat, Naïma Chikhaoui distingue les notions de bienfaisance et de solidarité au Maroc et revient sur le rôle des associations dans ce domaine.

Pour améliorer le quotidien des femmes de cette favela, l’association Redes a bâti en 2016 une maison des femmes, pour les guider vers une plus grande autonomie.

Grâce à un site Web, l’application App-elles et des actions de terrain, l’association Résonantes sensibilise et soutient les jeunes femmes victimes de violence.

Le réseau Akirachix permet à des jeunes filles et jeunes femmes, venant en majorité de quartiers pauvres et jusqu’ici exclues du numérique, d’y être formé.

Dans un quartier populaire de Toulouse, le rugby favorise l’intégration des jeunes, en particulier des filles, et crée une solidarité avec d’autres pays.