Qu’est devenue l’action concertée et solidaire des makers une fois les carences en matériel résorbées ? Qu’en restera-t-il demain dans le secteur de la santé ?

La crise sanitaire a transformé le rapport au numérique de bien des professionnels, bénévoles et bénéficiaires des associations du monde de la solidarité.

Rodées aux plates-formes collaboratives, les communautés de makers ont été sur le front, parant aux urgences avant de poser les jalons d’une coordination.

Selon Catherine Tourette-Turgis, les situations de confinément et de déconfinement mériteraient un véritable accompagnement des personnes les plus vulnérables.

L’association Dynam’eau agit pour l’accès de tous à l’eau et à des sanitaires. D’abord active en Afrique, elle intervient désormais dans la région de Bordeaux

Cette association aide des personnes aux revenus modestes et en situation de mal logement à rénover leur lieu d’habitation vétuste, insalubre ou mal isolé.

Créée par un jeune nigérian, Chowberry permet à des magasins de faire profiter les plus pauvres de denrées qui étaient hier jetées après leur date de péremption.

Au Bénin, une ingénieuse idée permet de résoudre un problème environnemental majeur tout en offrant des perspectives socio-économiques aux populations locales.

400 millions de personnes dans le monde n’ont pas accès aux services de santé les plus élémentaires… Dès lors, le recours au mobile pourrait être bien utile.

À Tolaw, en République du Congo, l’huile de palme a sauvé la radio de l’abandon : le village n’est plus isolé et s’en sert pour alimenter l’école en énergie.