Au cœur des Pyrénées Orientales, l’ESAT Cal Cavaller a permis au fil du temps de redynamiser l’activité d’un territoire enclavé en y intégrant ses résidents.

Né voici quinze ans, ce lieu permet à des malades d'Alzheimer, personnes avec des troubles de la mémoire, mais aussi des aidants, de se retrouver en papotant.

Selon l’OMS, le nombre de personnes de plus de 80 ans devrait tripler d’ici à 2050. Et la majorité des Japonais sont prêts pour les robots aides-soignants.

En Afrique du Sud, l’attention à l’autre, qu’il habite dans des townships ou des zones rurales éloignées de tout, passe par la culture, notamment la danse.

Des adolescents recomposent des parcours de vie de personnes âgées afin de les mettre en scène. À la clef, une co-création qui favorise le mieux vivre ensemble.

Une épidémie d’empathie qui, d’un hôpital, contaminerait jusqu’aux cafés et salons de coiffure ? Un drôle de récit, au travers de cinq témoignages.

Des robots aux objets connectés, les nouvelles formes d’assistance technologique changent-elles le rapport au soin ? Sont-elles l’avenir de la solidarité ?

Grâce au système d’exploitation Linux, cette association permet aux personnes âgées ou déficientes visuelles d’envoyer des mails, lire un courrier, s’informer…

Pour Thérèse Lebrun, nous devons créer des laboratoires de la société de demain, intégrant pleinement les personnages âgées, handicapées ou vulnérables.

Né il y a 8 ans à la périphérie de Lille, le quartier Humanicité s’appuie sur un living lab avec et par les habitants. Stéphane Soyez nous parle de ses ateliers.