À la mi-avril 2020, comment les lieux qui hébergent des migrants et demandeurs d’asile font-ils face à la crise sanitaire et au confinement ?  

Selon Catherine Tourette-Turgis, les situations de confinément et de déconfinement mériteraient un véritable accompagnement des personnes les plus vulnérables.

Alors que des établissements ferment ou réduisent leur activité, les associations s’organisent pour continuer d’accompagner celles et ceux qui vivent dans la rue.

Comment les associations d’aide aux personnes sans-abri adaptent-elles leur action à la crise sanitaire ? L’exemple de La Cloche, par la voix de Laura Gruarin.

Dans le sud de la Seine-et-Marne, un lieu de protection, d’écoute et d’accompagnement social pour les femmes victimes de toutes les formes de violence.

L’association EKO! donne aux réfugiés et habitants de l’île de Lesbos les moyens de fabriquer ou réparer des solutions techniques pour des besoins fondamentaux.

Cette association développe l’habitat en maison partagée où de jeunes volontaires cohabitent avec des personnes de la rue afin de les aider à se reconstruire.

En 2015, Peyrelevade, entre la Corrèze et la Creuse, ouvre un Centre d’accueil de demandeurs d’asile dans l’ex maison de retraite. Le début de nouveaux liens.

À Tanger, l’association 100% Mamans accompagne les mères célibataires trop souvent rejetées et leur donne la parole grâce à une radio en ligne qu’elle a créée.

L’association The Ink Link permet aux acteurs de la solidarité de communiquer en bande dessinée, grâce à son réseau d’artistes et de professionnels.