De la Guyane au Cameroun, les makers montent des programmes et développent des initiatives face à la crise sanitaire qui sévit dans le monde à l’été 2020

Qu’est devenue l’action concertée et solidaire des makers une fois les carences en matériel résorbées ? Qu’en restera-t-il demain dans le secteur de la santé ?

Recueillir les histoires des malades, retranscrire ces paroles dans un livre, les transmettre aux proches… Ou comment panser singulièrement le vivre ensemble.

Rodées aux plates-formes collaboratives, les communautés de makers ont été sur le front, parant aux urgences avant de poser les jalons d’une coordination.

Les designers de la Fabrique de l’hospitalité œuvrent au quotidien avec les soignants pour améliorer l’accueil et les services du CHU de Strasbourg.

Unique au monde, De Hogeweyk est un centre dédié aux malades d’Alzheimer conçu comme véritable village, où les résidents mènent une vie presque « normale ».

Jardinage, potager, ateliers de marche ou de gymnastique au dehors : les patients de l’hôpital Cognacq-Jay profitent de son jardin pour leur thérapie.

Deux hôpitaux norvégiens ont construit chacun un pavillon de répit ouvert sur la forêt qui offre aux patients et à leurs proches une indispensable respiration.

À Paris, L’Atelier accueille des personnes touchées par un cancer, quel que soit le stade de la maladie, pour rompre l’isolement et s’occuper de soi.

Hippocamp’families réunit des familles touchées par la maladie d’Alzheimer pour mutualiser les lieux et coûts afin de permettre la venue d’un auxiliaire de vie.