Retapé par des résidents du Pôle gérontologique nîmois de La Croix-Rouge et bien d’autres acteurs, ce camion est parti pour dynamiser le « vivre ensemble » de la ville.

Cette association, offrant à Marseille des casiers individuels ou les personnes sans-abri déposent leurs affaires, travaille désormais à un accueil réservé aux femmes.

Face à la gentrification qui ronge la capitale, cette association développe autour d’un restaurant solidaire un art de vivre ensemble, sans distinction de classe sociale.

L’association Osons ici et maintenant remobilise des jeunes de 18 à 30 ans pour construire un projet de vie lié à la transition écologique et sociale.

Au-delà de la mission de protection de leurs résidents, ne faut-il pas aujourd’hui aller plus loin dans l’ouverture d’établissements tels les ESAT ou les EHPAD ?

En connectant personnes âgées et propriétaires d’un jardin avec des habitants de tous âges qui n'ont pas accès à un jardin, cette initiative cultive les liens intergénérationnels.

Proposé par l'association Grandir Dignement, le service civique adapté aide à se réinsérer des jeunes entre 16 et 25 ans ayant eu des conflits avec la Justice.

À Nantes, l’association Repairs !44 apporte aux jeunes qui sortent de l’Aide sociale à l’enfance un réseau d’aide « entre pairs ». Portraits croisés.

L’école ETRE remobilise, forme et accompagne sur la voie de la transition écologique des jeunes en décrochage scolaire ou en questionnement. Et elle essaime…

Et si le monde de la transition écologique mettait les jeunes en situation de capacité grâce à l’invention d’un « Do-it-yourself together » ?