Quelles sont aujourd’hui les motivations de ceux qui « habitent » ces laboratoires d’un monde à « re-panser » pour que nos futurs soient plus solidaires ?

Quelle est la genèse de ces espaces d’un nouveau genre, qui se sont développés avec l’avènement de la civilisation numérique et l’essor de l’économie collaborative ?

Qui sont celles et ceux qui « habitent » les tiers lieux, ces espaces tout à la fois laboratoires de la ville, du terroir et du travail de demain ? État des lieux.

De nouveaux acteurs tentent de dépasser la problématique de l’urgence alimentaire, dans le but de nourrir bien et de faire du repas un moment de lien social.

La solidarité repose de plus en plus sur des pratiques allant vers les « invisibles », avec plutôt que pour, « pair-aidantes », dans un territoire et en écosystème.

Alors qu’une large partie de la population en reste exclu, n’y a-t-il pas moyen de réinventer sur le terrain l’utopie d’un monde numérique vraiment inclusif ?

Une interview du philosophe, sur son programme expérimental et prospectif en Seine-Saint-Denis, partant des savoirs et savoir-faire des gens sur le terrain.

Fragilisés, les acteurs culturels qui œuvrent pour la solidarité s’interrogent sur les possibilités de continuer à essaimer ce goût des autres dans le futur.

Mené par l’association Pih-Poh, ce programme vise l’amélioration des conditions de vie de ce quartier relégué de Tours. Étape 1 : définir avec tous son avenir.

Le fondateur d’Hologramme Global nous apporte un éclairage sur les activités de son association, sur la vision qui l’anime et sur le moteur de son engagement