Cette association de migrantes, construite en Grèce sur des principes de sororité, s’affranchit des barrières communautaires et estompe la frontière entre aidées et aidantes.

La solidarité repose de plus en plus sur des pratiques allant vers les « invisibles », avec plutôt que pour, « pair-aidantes », dans un territoire et en écosystème.

Comment le simple geste solidaire d’accueillir des réfugiés a permis de redonner vie à des communes qui se mouraient peu à peu en Calabre, au sud de l’Italie.

Le pari de cette anthropologue et psychologue : réussir l’intégration de réfugiés grâce à une prise en charge globale, psychologique et professionnelle.

Quand des femmes migrantes, ayant été victimes de violence, se forment au tissage mécanique et participent ainsi à la sauvegarde de savoir-faire calabrais.

Grâce à sa coopérative Jungi Mundu, le village de Camini en Calabre accueille une centaine de réfugiés. Une communauté multiculturelle s’est ainsi créée.

L’association EKO! donne aux réfugiés et habitants de l’île de Lesbos les moyens de fabriquer ou réparer des solutions techniques pour des besoins fondamentaux.

Unique au monde, De Hogeweyk est un centre dédié aux malades d’Alzheimer conçu comme véritable village, où les résidents mènent une vie presque « normale ».

Deux hôpitaux norvégiens ont construit chacun un pavillon de répit ouvert sur la forêt qui offre aux patients et à leurs proches une indispensable respiration.

À Ljubljana en Slovénie, les jardins partagés facilitent l’inclusion sociale et offrent une alternative bienvenue pour les personnes socialement défavorisées.