Quelles sont aujourd’hui les motivations de ceux qui « habitent » ces laboratoires d’un monde à « re-panser » pour que nos futurs soient plus solidaires ?

Quelle est la genèse de ces espaces d’un nouveau genre, qui se sont développés avec l’avènement de la civilisation numérique et l’essor de l’économie collaborative ?

Qui sont celles et ceux qui « habitent » les tiers lieux, ces espaces tout à la fois laboratoires de la ville, du terroir et du travail de demain ? État des lieux.

Fragilisés, les acteurs culturels qui œuvrent pour la solidarité s’interrogent sur les possibilités de continuer à essaimer ce goût des autres dans le futur.

Mené par l’association Pih-Poh, ce programme vise l’amélioration des conditions de vie de ce quartier relégué de Tours. Étape 1 : définir avec tous son avenir.

Ce restaurant solidaire expérimente des dispositifs d’insertion professionnelle et sociale et d’autres façons de consommer. Un modèle.

Dans les quartiers de l’Est parisien à forte mixité sociale, cette entreprise de l’ESS fait rimer nouvelle chaîne alimentaire et objectif solidaire.

Entamé en 2013, le recensement du complexe de la Maré, où vivent près de 140 000 âmes, doit contribuer à donner à sa population une pleine citoyenneté. 

Via de l’épargne solidaire et des dons, Terre de Liens achète des fermes et les loue à des agriculteurs qui pratiquent une culture biologique et paysanne.