Rodées aux plates-formes collaboratives, les communautés de makers ont été sur le front, parant aux urgences avant de poser les jalons d’une coordination.

Selon Catherine Tourette-Turgis, les situations de confinément et de déconfinement mériteraient un véritable accompagnement des personnes les plus vulnérables.

Avec Actes & Cités, Cyrille Hanappe propose une méthode architecturale qui respecte et s’inspire des pratiques et des inventions des résidents des bidonvilles.

Cette association développe l’habitat en maison partagée où de jeunes volontaires cohabitent avec des personnes de la rue afin de les aider à se reconstruire.

En plus des maraudes, l’association rennaise Cœurs résistants a ouvert une épicerie gratuite en 2016. Depuis, beaucoup d’anciens bénéficiaires s’y investissent.

L’association Dynam’eau agit pour l’accès de tous à l’eau et à des sanitaires. D’abord active en Afrique, elle intervient désormais dans la région de Bordeaux

Enfants, chômeurs, personnes gravement handicapées, etc. : la grande majorité des personnes vulnérables n’ont pas de protection sociale sur la planète.

12% de l’humanité vit aujourd’hui dans la pauvreté la plus extrême, souffrant notamment de faim et de pénurie d’eau.

À Issoire, dans le Puy-de-Dôme, la Rose des Vents a accueilli gratuitement toute personne en situation de précarité confrontée à des difficultés de soins. 

L’association Cœurs résistants s’est appuyée sur des étudiants et étudiantes pour ouvrir une épicerie gratuite au cœur du campus universitaire de Rennes 2.