Ce collectif organise des courses de fond au profit d’associations caritatives dans la cour de prison, créant ainsi d’autres liens entre détenus et personnel pénitentiaire.

Quelle est la genèse de ces espaces d’un nouveau genre, qui se sont développés avec l’avènement de la civilisation numérique et l’essor de l’économie collaborative ?

Qui sont celles et ceux qui « habitent » les tiers lieux, ces espaces tout à la fois laboratoires de la ville, du terroir et du travail de demain ? État des lieux.

Au-delà des murs repeints du quartier Vatable, Pli Bel Lari a créé une méthode d’entraide pour faire revivre Pointe-à-Pitre grâce à toutes ses populations.

Ce dispositif permet à de jeunes volontaires en service civique de s’investir pendant six mois sur le terrain, au plus près des besoins des zones rurales trop souvent délaissées.

Cette plateforme relie des chauffeurs bénévoles à des seniors isolés ou en perte d’autonomie en milieu rural, dans les Ardennes.

Avec l’opération Pli Bel Lari qu’elle a initiée en 2014, l’architecte Sylvie Adelaïde a mis en place une méthode pour changer durablement la vie des quartiers.

Née à l’impulsion d’habitants du quartier Vatable, cette opération est devenue une méthode collective qui mobilise tous et toutes pour faire revivre Pointe-à-Pitre.

Fragilisés, les acteurs culturels qui œuvrent pour la solidarité s’interrogent sur les possibilités de continuer à essaimer ce goût des autres dans le futur.

La création d’espaces communs, où toutes les populations se rencontrent, suppose une intention et beaucoup d’attention, dit la responsable de LaBase en Gironde.