À Paris, dans le quartier de la Goutte d’Or, des thérapeutes prêtent l’oreille à ceux qui ont envie de se confier.

C’est via 164 familles d’accueil thérapeutique que l’hôpital de ce village de l’Allier assure les soins de 328 personnes en situation de handicap psychique.

Quand des femmes migrantes, ayant été victimes de violence, se forment au tissage mécanique et participent ainsi à la sauvegarde de savoir-faire calabrais.

Grâce à sa coopérative Jungi Mundu, le village de Camini en Calabre accueille une centaine de réfugiés. Une communauté multiculturelle s’est ainsi créée.

Les épiceries sociales et solidaires se développent : il y en a environ 1000 en France en 2018, alors qu’il n’y en avait presque aucune il y a dix ans.

De Mots croisés à Nos Mémoires vives en passant par Globe Conteur : quand des initiatives font partager des souvenirs et histoires des aînés aux plus jeunes.

L’association Ensemble, un lieu pour des liens solidaires à Achères (ELLSA) : des ateliers, une AMAP, une épicerie solidaire et la ferme urbaine d’Intégraterre.

Lié à l’association Habitat & Humanisme Rhône, ce restaurant solidaire offre un repas à 2 € et soutient des personnes isolées en situation de grande précarité.

Ce projet thérapeutique et pédagogique permet de répondre aux difficultés d’intégration que rencontrent les enfants atteints de troubles autistiques graves.

Comment imaginer des espaces publics plus solidaires ? Selon quelles modalités de relation ? Et le numérique dans tout ça ? Une longue interview du géographe.