Quelles sont aujourd’hui les motivations de ceux qui « habitent » ces laboratoires d’un monde à « re-panser » pour que nos futurs soient plus solidaires ?

Quelle est la genèse de ces espaces d’un nouveau genre, qui se sont développés avec l’avènement de la civilisation numérique et l’essor de l’économie collaborative ?

Qui sont celles et ceux qui « habitent » les tiers lieux, ces espaces tout à la fois laboratoires de la ville, du terroir et du travail de demain ? État des lieux.

Ce dispositif permet à de jeunes volontaires en service civique de s’investir pendant six mois sur le terrain, au plus près des besoins des zones rurales trop souvent délaissées.

Avec l’opération Pli Bel Lari qu’elle a initiée en 2014, l’architecte Sylvie Adelaïde a mis en place une méthode pour changer durablement la vie des quartiers.

Fragilisés, les acteurs culturels qui œuvrent pour la solidarité s’interrogent sur les possibilités de continuer à essaimer ce goût des autres dans le futur.

Ce restaurant solidaire expérimente des dispositifs d’insertion professionnelle et sociale et d’autres façons de consommer. Un modèle.

Né il y a 8 ans à la périphérie de Lille, le quartier Humanicité s’appuie sur un living lab avec et par les habitants. Stéphane Soyez nous parle de ses ateliers.

À Pointe Saint-Charles, ancien quartier industriel de Montréal au Québec, le Bâtiment 7 et son Pôle des pratiques expérimentent un autre « vivre ensemble ».

Ces « communautés collaboratives » entendent faire circuler sans entrave le savoir. Tous les savoirs.